Lors d’un meeting tenu à l’ancienne maison des Jeunes de Nouakchott, ce 11 juillet, le candidat Kane Hamidou Baba a rendu un hommage à la jeunesse mauritanienne qu’il considère comme "une jeunesse combattante, courageuse et avant-gardiste" avant de l’appeler à aller voter massivement au jour du scrutin afin de choisir librement son candidat.
L’avenir de la Mauritanie, selon lui, se construit forcément avec la jeunesse.
"Notre programme est un programme qui accorde une large place à la jeunesse", a-t-il rappelé en soulignant qu’il est temps que ceux qui aspirent à diriger la Mauritanie changent de méthodes et de pratiques de faire de la politique. "Nous sommes dans un pays où les institutions sont encore jeunes", fait-il remarquer avant de rappeler les différents maux qui gangrènent la société mauritanienne et qui ont pour noms mal gestion et mal gouvernance.
Pour ce faire, il a appelé la jeunesse mauritanienne à s’investir dans tous les espaces de liberté, d’expression et de démocratie."Vous, les jeunes, vous n’êtes pas saisi par le virus des petits calculs, des calculs mesquins, des calculs opportunistes", lance-t-il.
Kane Hamidou Baba reste convaincu que la jeunesse mauritanienne peut bien relever les défis du futur dans les différents secteurs de la vie nationale. Il a également souligné l’importance pour la Mauritanie de prendre en considération tous les héritages culturels et identitaires des différentes communautés du pays. "Vous ne connaissez pas le racisme, ni l’ethnicisme, ni le tribalisme encore moins le régionalisme", se réjouit-il.
Et, à ceux qui pensent qu’il va bientôt emboîter le pas à Sghaïr Ould Mbareck qui a renoncé à participer à l’élection présidentielle du 18 juillet prochain, Kane Hamidou Baba est sans équivoque. "Nous nous sommes engagés dans cette campagne avec le sens du devoir, rappelle-t-il. Nous allons accomplir notre devoir jusqu’au bout". Le message est donc clair. K.H.B sera bel et bien au rendez-vous du 18 juillet 2009. Ruiné par la première campagne électorale, il ne compte pas renoncer à son objectif.
"J’aurai souhaité tant faire pour la jeunesse parce que je connais sa valeur, je connais sa motivation, son dynamisme mais il nous a été imposés de faire une double campagne, un fait insolite dans l’histoire politique de la Mauritanie", regrette-t-il.
Euphorique, il déclare : "Si nous devions faire une autre campagne, vu votre détermination et votre engagement, je serai toujours à vos côtés".
K.H.B s’est interrogé sur la provenance des centaines de milliards d’ouguiyas qui ont été injectés dans le cadre de cette campagne électorale et souvent utilisés dans l’achat des consciences. "Il faut laisser le peuple mauritanien choisir librement ses gouvernants", dit-il.
Il a promis qu’une fois élu de mettre en œuvre un certain nombre de réformes dans le cadre institutionnel, économique, politique, social et sans oublier celui des sports et des loisirs."Toutes les places publiques qui étaient destinées aux loisirs ont été occupées par des constructions sauvages et illégales", s’indigne-t-il.
Kane Hamidou Baba a tenu à rappeler qu’il est bien possible de changer la Mauritanie. Il explique : "D’abord par deux moyens : en redonnant confiance à la Mauritanie et à sa jeunesse mais également en remettant au travail la Mauritanie".
Babacar Baye Ndiaye
L’avenir de la Mauritanie, selon lui, se construit forcément avec la jeunesse.
"Notre programme est un programme qui accorde une large place à la jeunesse", a-t-il rappelé en soulignant qu’il est temps que ceux qui aspirent à diriger la Mauritanie changent de méthodes et de pratiques de faire de la politique. "Nous sommes dans un pays où les institutions sont encore jeunes", fait-il remarquer avant de rappeler les différents maux qui gangrènent la société mauritanienne et qui ont pour noms mal gestion et mal gouvernance.
Pour ce faire, il a appelé la jeunesse mauritanienne à s’investir dans tous les espaces de liberté, d’expression et de démocratie."Vous, les jeunes, vous n’êtes pas saisi par le virus des petits calculs, des calculs mesquins, des calculs opportunistes", lance-t-il.
Kane Hamidou Baba reste convaincu que la jeunesse mauritanienne peut bien relever les défis du futur dans les différents secteurs de la vie nationale. Il a également souligné l’importance pour la Mauritanie de prendre en considération tous les héritages culturels et identitaires des différentes communautés du pays. "Vous ne connaissez pas le racisme, ni l’ethnicisme, ni le tribalisme encore moins le régionalisme", se réjouit-il.
Et, à ceux qui pensent qu’il va bientôt emboîter le pas à Sghaïr Ould Mbareck qui a renoncé à participer à l’élection présidentielle du 18 juillet prochain, Kane Hamidou Baba est sans équivoque. "Nous nous sommes engagés dans cette campagne avec le sens du devoir, rappelle-t-il. Nous allons accomplir notre devoir jusqu’au bout". Le message est donc clair. K.H.B sera bel et bien au rendez-vous du 18 juillet 2009. Ruiné par la première campagne électorale, il ne compte pas renoncer à son objectif.
"J’aurai souhaité tant faire pour la jeunesse parce que je connais sa valeur, je connais sa motivation, son dynamisme mais il nous a été imposés de faire une double campagne, un fait insolite dans l’histoire politique de la Mauritanie", regrette-t-il.
Euphorique, il déclare : "Si nous devions faire une autre campagne, vu votre détermination et votre engagement, je serai toujours à vos côtés".
K.H.B s’est interrogé sur la provenance des centaines de milliards d’ouguiyas qui ont été injectés dans le cadre de cette campagne électorale et souvent utilisés dans l’achat des consciences. "Il faut laisser le peuple mauritanien choisir librement ses gouvernants", dit-il.
Il a promis qu’une fois élu de mettre en œuvre un certain nombre de réformes dans le cadre institutionnel, économique, politique, social et sans oublier celui des sports et des loisirs."Toutes les places publiques qui étaient destinées aux loisirs ont été occupées par des constructions sauvages et illégales", s’indigne-t-il.
Kane Hamidou Baba a tenu à rappeler qu’il est bien possible de changer la Mauritanie. Il explique : "D’abord par deux moyens : en redonnant confiance à la Mauritanie et à sa jeunesse mais également en remettant au travail la Mauritanie".
Babacar Baye Ndiaye
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